La air des absents
Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, aucune sorte de mouvement, aucune brise assez grande pour produire un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaire, à savoir s’il répondait à une popularité imperceptible. I